Du Charnel au Spirituel

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Créé le : 12/08/2008 15:23
Modifié : 24/08/2008 16:26

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[ Merci Seigneur ]

TRES HAUT

24/08/2008 14:44

TRES HAUT


TRES HAUT

 


Il ne fallait pas commencer

 

Surtout pour me délaisser

 

Dieu, tu as donné à ma vie un sens

 

Mais pourquoi tu me prives de ta présence

 

Tout le temps, humiliée, je clame

 

La nuit tombée, je te reclame

 

 

Mais de mes années, je n’ai pas de programme

 

Tu as dit, O Père généreux

 

Tu as demandé, O Père miséricordieux

 

Que l’homme quittera son père et sa mère

 

S’unira à sa femme et seront une paire

 

Pourquoi Dieu, je m’évanouie dans la solitude

 


Pourquoi, mon âme est privée de plénitude ?

 


Père très saint, si celui si n’est pas le bon

 

Fais moi signe, même par petits sons

 


Si non seigneur par mesure de prudence

 

Très Haut, à ton tribunal, je  garderai le silence

 

Je m’ofrirai ce droit même en ta présence

 

 

J’ai été crée à l’image de mon humble créateur

 

J’exige de ma vie, la présence de mon sauveur

 

Dieu dans ma revolte, je me penche vers toi

 

Mon Dieu, dans la douleur, j’affirme ma foi./-

 






DERNIER SOUFFLE

24/08/2008 14:39

DERNIER SOUFFLE


 

Je t’aime et tu résistes

 

Je t’aime et maudis qui t’approche

 

Je ne guéri pas, je me panse

 

Chaque fibre de moi s’évente

 

Crois- tu que j’invente ?

 

Si je ne dis plus jamais l’amour autrement qu’à toi.

 

Je prie que tu m’arrêtes

 

Mais tu passes et ne m’arrêtes

 

Mais tu passes et ne me parles

 

Raconte rien qui vaille

 

Que fais- tu de toi et pourquoi ?

 

J’attends et j’ai tort

 

C’est toi et l’essence de toi

 

Mais tu cherches ailleurs

 

Et le temps compte !

 

Découvre moi j’apprendrai

 

Aussi et marcherai puisqu’il faut marcher

 

Ces jours puisqu’il faut

 

Qui vois-tu, ou et pourquoi toutes ces questions ?

 

J’ai la peur saine et fouilles jusqu’à l’ombre de moi

 

Je dis, redis l’invivable

 

Je t’aime et toi l’autre

 

Devrais- tu me lires car que t’écrire, autrement

 

L’idée fixée est ferme

 

Je ne sais plus, je crains

 

Je tourne, retourne

 

Je fuis toutes pensées

 

Je te guette des heures

 


 

 

Oublie le sens

 

Attendre n’est rien

 

Je veux ce qui de toi me hante !

 

Qui aime- tu ?

 

J’ai vu et voir m’aveugle

 

Tu la touches, l’embrasses, la tiens

 

Ton geste ne m’est plus

 

Tu me rayes, m’effaces

 

Tu n’as pas besoin de moi

 

J’ai cru, n’imagine plus.

 

Penchée la tête tranchée mais vite

 

Que le sang cesse !

 

 


Faut- il mourir ?

 

Car que t’offrir d’autres

 

Quoi d’autre ?

 

Tu siffles, j’accours

 

Marcher la tête

 

Chaque pas te prononce

 

Quand viens- tu ?

 

Je ne compare pas tes visites

 

S’estompent, les excuses manquent

 

Quel livre prêter, quel cadeau ?

 

Quelle nouvelle annoncer ?

 

Tu ne m’aides plus, m’évites, t’éloignes

 

Il y a celle et l’autre

 

Aucune remplacée

 

Mais successives toutes à leurs places

 

Différentes, dis- tu ? Alors pourquoi tous les jours elle !

 

Répétée, relancée, invitée

 

Je ne balance pas, ne suis pas de taille

 

Je fais de moi ce que tu …

 

Parle, viens, mais je suis frêle et seule

 

Et encore seule

 

T’aimer me tu et je t’aime

 

Qu’importe l’autre, je ne rampe pas !

 

Et s’il faut t’attendre, j’ai la vie…

J’ai peur de toi

 

Tu me dissous, me fonds, me refuses

 

Sur son visage à présent tes mains, tes lèvres

 

Lui donner un nom ?

 

Je tais le tien

 

Je ne guéri pas, je m’absous

 

Je vais au-delà crois- moi

 

T’aimer m’esquinte

 

Les mots s’usent

 

Je traîne et traîne la douleur commence à peine

 

Mourir viendra et tout ce qui est clos.

 

Ou es- tu ? Ou et ou ?

 

Et que penses- tu enfin,

 

L’aimes- tu ?

 

Dis, que je dorme, l’aimes- tu ?

 

Et si tu mens tout s’effrite

 

Aime- moi

 

Si cela était, te croirai- je ?

 

Je croirai à répétition

 

Je t’aime et te crie les mots m’écorchent

 

Je ne guéri pas

 

Je m’éteins encore

 

Les jours se fanent et moi, et déjà moi

 

Palper l’absence, m’éloigner surtout

 

Les bras muets

 

Je lutte, vois- tu, me débats

 

Toute confiance, toute force en toi

 

Qu’être en prière tout le long de toi !

 

Emplir cahiers et cahiers chaque mot de toi !

 

Tracer chaque geste

 

Tu liras chez moi nul regard n’est clément

 

Et j’ai crainte qu’elle ne triche un jour

 

Me lit- elle ?

 

Si oui que les mots la perforent

 

Je n’ai de défense qu’écrire

 

Embrasse moi et peut-être en douce

 

Tu la préfères, favorises

 

Près d’elle ta vie

 

Complices

 

Tu disposes de moi

 

Tu l’embrasses aussi, ou dort- elle et quand ?

 

Elle prend le peu de temps, me le vole

 

Viens- tu et pourquoi pas au hasard

 

Mais elle s’installe, s’impose et j’oublie

 

Toujours tu m’oublies !

 


 

Marseille, juillet 97






ETAT CIVIL

24/08/2008 14:29

ETAT CIVIL


Mon histoire est longue..., très longue

 

Mais la dernière partie de ma vie

 

Sauras être assez longue auprès de toi

 

Pour que j’aie le temps de te la conter !

 

 

Tu es le rêve de mon sentiment d’amour

 

La couleur de ta tendresse est ton sourire

 

L’amour t’a choisie

 

Jette donc un regard ici ou je me trouve

 

 

Ne t’éloignes pas trop

 

De cette place qui est celle de ta mère

 

Ne casses pas, ne désarmes pas

 

Tu ne me laisserais qu’une moitié

 

 

Ton amour m’a pénétré

 

Jusqu’au sens unique de mon cerveau

 

Cher aimé et ceux de mon cœur !

 

Je me noie dans ma sueur

 

 

Ecoute ce conte de ma famille

 

Ma famille avait raison

 

L’un de leur fils avait été tué sans mobile

 

Mais, à force d’abuser des cris, hurlements, et pleures

 

 

Tout le monde dans le quartier en eût marre d’elle

 

Combien de temps faut – il que je pleure pour ton amour ?

 

Dis- le moi !

 

Cher aimé, ne me laisse pas au bord de la route

 

 

Si c’est possible d’envoyer une flamme par emballage

 

Je t’aurais envoyé la mienne

 

Enveloppée dans un nuage fluorescent,

 

Pour qu’à trois heures du matin,

 

 

Lorsque le sommeil devient le plus profond

 

Ce feu incendie ton cœur

 

Et comme la foudre grandi dans ton cœur

 

Et lorsque alors tu sursauteras et t’éveilleras

 


Tu te pencheras enfin sur mon cas !

 

 


Arrête d’en parler

 

Viens voir l’agonie de ce roi qui possède tout

 

Mais pourtant ce roi est dans le coma

 

Parce qu’il lui manque ton amour

 

 

Si celui- ci avait un prix

 

Il aurait donné pour l’avoir

 

Même une âme humaine !

 

Les tourments de l’amour, la nuit, qu’elle calvaire

 

 

Il m’a réduit au niveau zéro moins

 

Celui qui aime ne trouve son salut qu’on l’être aimé

 

Ne me laisse pas ressembler au tombeau du soldat inconnu

 

Ne trouvant personne pour fleurir !

 

 

Moi la poupée, toi le vétéran

 

Moi la poupée, toi l’homme d’expérience

 

Dans ce combat entre toi et moi

 

Quelle arme vais-je choisir ?

 

 

Je ne serai pas à la hauteur

 

La douceur de ton sourire suffit pour me rendre KO

 

Lorsque tu me tournes le dos tu abrèges ma vie

 

Je ne suis plus que ton jouet !

 

 

La grossesse du bonheur a engendré la tristesse

 

La petite chérie d’hier à perdu son innocence

 

Son cou aux perles ne porte plus que bijou en or

 

L’époque des midinettes et écoliers sages

 


Est belle et bien révolue

 

 


Si je possédais le don de la magie

 

Je chercherai à revivre le passé

 

Me voilà mourante pour t’avoir aimé

 

J’aime mon prochain selon la loi de Dieu !

 

 

Toi, tu refuses de m’aimer, c’est un péché

 

Mais, je ne mourais pas sans ton amour

 

La météo de l’amour est orageuse

 

Amour rime avec intempérie !

 

 

C’est le mauvais temps dans mon cœur

 

Mon stylo bégaye

 

Mais s’il parvient à toi

 

Sache que je l’écris avec des larmes aux yeux

 

 

Apres toi, je ne me marierai pas

 

Le sentiment d’amour foudroie mon cœur

 

Toi qui m’as fait découvrir l’amour

 

Je ne survivrai pas...-/-

 






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