Mon histoire est longue..., très longue
Mais la dernière partie de ma vie
Sauras être assez longue auprès de toi
Pour que j’aie le temps de te la conter !
Tu es le rêve de mon sentiment d’amour
La couleur de ta tendresse est ton sourire
L’amour t’a choisie
Jette donc un regard ici ou je me trouve
Ne t’éloignes pas trop
De cette place qui est celle de ta mère
Ne casses pas, ne désarmes pas
Tu ne me laisserais qu’une moitié
Ton amour m’a pénétré
Jusqu’au sens unique de mon cerveau
Cher aimé et ceux de mon cœur !
Je me noie dans ma sueur
Ecoute ce conte de ma famille
Ma famille avait raison
L’un de leur fils avait été tué sans mobile
Mais, à force d’abuser des cris, hurlements, et pleures
Tout le monde dans le quartier en eût marre d’elle
Combien de temps faut – il que je pleure pour ton amour ?
Dis- le moi !
Cher aimé, ne me laisse pas au bord de la route
Si c’est possible d’envoyer une flamme par emballage
Je t’aurais envoyé la mienne
Enveloppée dans un nuage fluorescent,
Pour qu’à trois heures du matin,
Lorsque le sommeil devient le plus profond
Ce feu incendie ton cœur
Et comme la foudre grandi dans ton cœur
Et lorsque alors tu sursauteras et t’éveilleras
Tu te pencheras enfin sur mon cas !
Arrête d’en parler
Viens voir l’agonie de ce roi qui possède tout
Mais pourtant ce roi est dans le coma
Parce qu’il lui manque ton amour
Si celui- ci avait un prix
Il aurait donné pour l’avoir
Même une âme humaine !
Les tourments de l’amour, la nuit, qu’elle calvaire
Il m’a réduit au niveau zéro moins
Celui qui aime ne trouve son salut qu’on l’être aimé
Ne me laisse pas ressembler au tombeau du soldat inconnu
Ne trouvant personne pour fleurir !
Moi la poupée, toi le vétéran
Moi la poupée, toi l’homme d’expérience
Dans ce combat entre toi et moi
Quelle arme vais-je choisir ?
Je ne serai pas à la hauteur
La douceur de ton sourire suffit pour me rendre KO
Lorsque tu me tournes le dos tu abrèges ma vie
Je ne suis plus que ton jouet !
La grossesse du bonheur a engendré la tristesse
La petite chérie d’hier à perdu son innocence
Son cou aux perles ne porte plus que bijou en or
L’époque des midinettes et écoliers sages
Est belle et bien révolue
Si je possédais le don de la magie
Je chercherai à revivre le passé
Me voilà mourante pour t’avoir aimé
J’aime mon prochain selon la loi de Dieu !
Toi, tu refuses de m’aimer, c’est un péché
Mais, je ne mourais pas sans ton amour
La météo de l’amour est orageuse
Amour rime avec intempérie !
C’est le mauvais temps dans mon cœur
Mon stylo bégaye
Mais s’il parvient à toi
Sache que je l’écris avec des larmes aux yeux
Apres toi, je ne me marierai pas
Le sentiment d’amour foudroie mon cœur
Toi qui m’as fait découvrir l’amour
Je ne survivrai pas...-/-