Du Charnel au Spirituel

VIP-Blog de betinov

Du Charnel au Spirituel
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

23 articles publiés
dans cette catégorie
2 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 12/08/2008 15:23
Modifié : 24/08/2008 16:26

Fille (36 ans)
Origine : Congo
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Merci Seigneur ]

TON ABSENCE

24/08/2008 15:38

TON ABSENCE



La ville semble endormie

 

Le silence inonde mes entrailles

 

J’écoute la musique de ton absence

 

Je projette mes souvenirs dans le temps

 

Le mirage que je vois ne présage rien

 

*

 

De ton existence, je n’ai aucun son

 

Aujourd’hui, tu as contaminé mon sang

 

J’y pense, j’épouse le banc

 

Ma météo ne prévoit rien de bon

 

Tu ne m’aimes pas au fond

 

*

 

Cette histoire s’annonce trop fort

 

Pourvu qu’elle ne me cause pas du tort

 

Je m’accroche au téléphone

 

Je vis mal, dors à peine, qu’il sonne !

 

Pour rien, tu m’abandonnes

 

*

 

Je travaille sans passion

 

Est- ce une noble punition ?

 

Me laisser en dérision

 

Je m’inquiète pour ma paix intérieure

 

Je te considère trop et t’aime pour plusieurs

 

*

 

Quand je t’attends quelque chose de toi,

 

Je perds un peu de moi

 

Vivre avec toi, un suspense permanent

 

Vivre sans toi, une existence en tourment

 

Entre nos cœurs mets un pont

 

*

 

Je connais à peine ton visage

 

Tu t’entoures des barrages

 

C’est plus que du sabotage

 

Mais tu ne peux comprendre

 

En amour, tu as beaucoup a apprendre

 

 


En amour, il faut surprendre-/-

 






PRESENT

24/08/2008 15:35

PRESENT



Mon rêve est long

 

Plus long que mon sommeil

 

Tu y es permanent, présent,

 

Ma vie ne saura prendre un éveil

 

*

 

Sans ta compagnie : AMOUR

 

Mon présent n’a de sens

 

Qu’au rêve de m’éloigner d’ici !

 

Une envie ferme et précise

 

*

 

Mon cœur comme mon corps

 

Passifs, à raison ou à tort

 

Je vie sans aucune pensée

 

D’ici pas de lendemains sensés

 

*

 

Destin, Dieu, Foi…

 

A la pensée d’aucune décision

 

Ne dépend de ma conviction

 

De la nature, tout est loi

 

*

 

Tout est Destin, Dieu…

 

Alors, j’ai peur des cieux

 

Peur de ne pas être assez juste

 

Pour bénéficier de la rémission des fautes

 

*

 

Je supplie, je prie, j’implore, j’invoque

 

J’attends et je crois

 

Je réclame ne fût- ce qu’une journée

 

Sans être abandonnée

 

*

 

Une journée de poignée de main

 

J’aime mon prochain,

 

L’amour, je sème

 

J’aime comme miroir de moi-même

 

*

 

Faut-il souffrir que d’aimer ?

 

Aimer c’est en permanence saigner,

 

Je réclame à Dieu une mort réparatrice

 

Je réclame une overdose d’amour-/-

 







SAINT VAL’

24/08/2008 15:30

SAINT VAL’


 

Doucement et progressivement,

 

Un pas sans mouvement,

 

Tu t’installes dans ma vie.

 

Est- ce, une nouvelle vie ?

 

Ou plutôt une survie ?

 

Arriverai- je au bout ?

 

Tu te fais présent

 

Même dans ton absence.

 

Que comptes- tu faire de moi ?

 

Moi, toujours loin de toi.

 

Mon cœur en pièce,

 

Je ne tiens plus, je force.

 

Maladroite, distraite,

 

Insatisfaite

 

Mes nuits deviennent longues,

 

Mes rêves plus longs que mon sommeil.

 

Je crains fortement le réveil.

 

Mon Valentin

 

De toi, j’ai faim

 

Je t’attendrai en basin

 

C’est vrai, j’ai eu le béguin.

 

Tout est toi dans mon calepin.

 

Je veux partout ta main.

 

Connaître tous tes chemins.

 

Je te veux point-/-

 

 

« J’AI LA TÊTE LENTE ET RIEN N’EXISTE QUI N’AIT ETE RÊVE,

 

LES MOTS M’EVADENT DOUX, SI DOUX QUE JE PASSE POUR FOLLE.

 

OU CROIS- TU QUE JE PARTE, QUAND JE PARS ?

 

TOUT EST TROUBLE ET LA MER COULE CONTRE MOI.

 

IL Y A EN MOI

 

ET TU LE SAIS

 

TOUTE LA FIN DU MONDE »

 

* * * * *

 






TOUT CONTRE TOI

24/08/2008 15:25

TOUT CONTRE TOI


TOUT CONTRE TOI

 

 

Une année déjà, depuis que je lorgnais ton torse

 

Des mois entiers, j’ai rêvée m’y réfugier

 

Tu me regardais,

 

M’encourageais du regard,

 

Et aussitôt m’oubliais !

 

Ne suis- je pas trop bien pour toi ?

 

Serais- tu trop moins sérieux pour moi,

 

A l’aurore, comme à l’aube,

 

Je ferme les yeux et m’imagine…

 

Tes bras puissants m’enlacent,

 

 

Explore à tes souhaits tout mon être,

 

Surtout traîne sur mon intimité

 

Et comme par enchantement,

 

Je me noie dans un océan de plaisir.

 

Le temps est en pleine interruption,

 

 

Nos corps optent pour la coagulation

 

Je meure, louant cette mort lente, bienfaitrice

 

Je m’endors, ensuite avec cette pensée

 

Matérialisé, chérie, surtout personnalisée…

 

Il n’y a pas un plus mauvais réveil,

 

 

Que toute une nuit de désirs inassouvis !

 

Même la jouissance a un goût amer

 

De la solitude…

 

Ce jour enfin…

 

Ce jour ou tu as dis me désirer,

 

 

Ce jour ou tu as osé vouloir unir nos deux corps,

 

Tu m’as pris sans tendresse,

 

Tu as ôté l’allégresse,

 

Tu m’as pris avec égoïsme,

 

Tu ne t’es point soucié de mes besoins

 

Tu as aboli en ton langage les caresses

 

Ton membre me transgressait sans passion

 

Ta bouche s’est refusée aux baisers

 

Tes mains ont inhibé les caresses,

 

J’attendais tellement de toi,

 


 

 

Ou plutôt rien !

 

J’appréhendais ton orgasme,

 

Que cette bataille stupide !

 

Que tu appelles l’amour s’arrête !

 

Tu l’as tellement bâclé

 


* * *

 

Et qu’enfin, j’ose refouler mes désirs et point barre

 

Tu m’as autrefois tendu la main,

 

Que je ne regrette pas,

 

C’est comme des remerciements

 

J’ai été contente pour toi

 

 


Je t’ai vu te battre à la recherche du plaisir

 

Que tu ne me donnais pas !

 

J’ai aimé t’entendre annoncer ton plaisir,

 

J’ai adorée, te voir secoué de spasme de plaisir,

 

Et comme dans un mauvais film

 

 

Tout de suite après

 

Débarrassé de ta protection

 

En même temps que mon désir

 

Tu m’as délaissé,

 

Tu t’es nettoyé,

 


Et a récupérer ton sommeil inachevé.

 

Ce fiasco à anéanti mes envies

 

J’ai rêvé un jour de tes bras

 

Je me traînais au septième ciel…

 

Avec toi, pour de bon-/-

 






ICI OU JE ME TROUVE

24/08/2008 15:19

ICI OU JE ME TROUVE


 

Le voile est retombé,

 

La température grisaille s’affiche.

 

C’est une saison aimée des gens,

 

La tristesse m’accapare.

 

L’amour est inexistant.

 

Les poches trouées sont vides.

 

Le froid s’installe.

 

Le besoin de couverture est là…

 

Une morale absente

 

Un physique que l’on ne peut s’offrir,

 


Le rat d’église est plus riche,

 

Les chaussures se révoltent

 

A force de cordonnerie.

 

Habits usés à force de nettoyage.

 

La marche qui na guerre était un sport,

 

 


Devient moyen de transport

 

Tu passes inaperçu parce que qu’étant moche

 

Les kilogrammes en trop te gâchent la vie

 

Il s’est passé tant de choses depuis ton enfance

 

Les choses ont tellement changées depuis ton adolescence

 

Ou– est celui qui se fait appeler DIEU

 

Sourd, muet, aveugle

 

N’entend rien des cris de détresses des autres

 

Il n'a aucun mot de réconfort

 

Il ne voit rien du dédale des uns

 


Le moyen orient occupe ses priorités

 

L’abri de tes nuits est menacé,

 

Le contrat de bail tu as trahi,

 

Comme autrefois, tu vas te retrouver à la rue

 

A quémander ou fermer les yeux

 

*

 


Subir sans brancher les regards mécontents

 

Ne dire mot à des injustices

 

N’avoir aucun choix à ta survie

 

Qu’as-tu fait pour en arriver là ?

 

Le corps dans le besoin

 

Le cœur meurtri

 

La fatalité surgie

 

Tu vis un destin d’autrui

 

Les sous-vêtements recousus

 

La peur de te retrouver sans toit

 


*

 

Tu voudras dormir et ne plus jamais te réveiller

 

Te laisser à cette résolution

 

Tu désires pleurer

 

Ta bouche ne laisse échapper aucun cris

 

Tes larmes coulent et s’évanouissent dans la nature

 

*

 

Ta vie aurait été une mauvaise aventure

 

Le monde refuse d’entendre tes gémissements

 

L’intensité des vagues couvre tes appels au secours

 

Tu vas partir dans l’oubli comme tu as vécu,

 

Tu vas disparaître, masse inutile de la nature…-/-

 

* * * * *

 






Début | Page précédente | 1 2 3 4 5 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact betinov ]

© VIP Blog - Signaler un abus