Sans tambour ni trompette, tu ne t’y attendais pas
Droit devant toi, fascinée par le mystère de là bas
Derrière lui, dépendante dans les lieux inconnus
Beauté sublime, t’accrocher si tu avais pu
Pas sur pas, laissant une tâche indélébile
La force de l’amour t’a anéanti
Pourtant tu étais averti
Comme une analphabète, tu t’égares la confusion s’installe
Voilà, le temps du raisonnement est presque fini
Dans l’oubli, l’amour t’emporte sans préavis
Dans ton verbe, au lieu des mots
Tu t’égares et y mets ton cœur
Chaque fois tu as peur
Fini ton bonheur
Tu écoutes, scrutes, envisages, pense mais n’agis
Le cœur en émois et en sang se pince mais ne réagis
Rupture consommée avec lendemains
Chaque fois tu te remets en question
Le temps passe et aucune solution
Bonjour, l’amour, toujours
Rimes sublimes, incertains
Vivre ou survivre ?
Fléchir ou réfléchir ?
Peu importe les mots t’écorchent et s’usent
Les regards curieux te percent et trompent
Les gestes précis, tendres s’estompent
Le point est plus puissant que la mort
Voilà, ça y est, c’est ton sort
Aimer peu te ressusciter
Tu penses à l’éternité
M’aimes- tu
Si oui, je doute
Me hais- tu
Le non me coûte
Je croirais à répétition
TU doutes mes résolutions
Tu clames, réclames
Insatisfaite ton âme
Tu donnes et perds tout
C’est une histoire de fou
Tu regardes chaque centimètre de lui
Longtemps, nullement tu t’ennuies
Oubliant souvent que tu l’ennuies
L’homme qui donne de l’amour
Est parti sans laisser d’adresse
Impatiente, le regard pressé
Marc mon amour,
L’immensité,
La durée de tes baisers sublimes
Laisse place à une nostalgie incurable
Tu l’aimes pourquoi pas, c’est Idem
Vous deux, un Tandem
Le temps passe, tu penses l’inoubliable-/-